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Le SNALC accueille sans surprise les chiffres catastrophiques du nombre de candidats aux concours de l’enseignement de cette année, conséquence de l’incurie de gouvernements qui se suivent et se ressemblent.
La crise des recrutements se poursuit; dans le second degré, elle s’aggrave même, avec près de 3 000 candidats en moins. Chez les professeurs des écoles, si le chiffre se stabilise, c’est à un niveau historiquement bas, puisque le nombre de candidats a spectaculairement baissé ces dernières années. Rappelons que le ministère prolonge désormais la période d’inscription aux concours afin de limiter la casse.
Le SNALC rappelle que cette grave crise a des conséquences majeures sur le système éducatif : recours massif et structurel à des personnels contractuels auxquels aucune formation réelle n’est donnée, y compris à l’école primaire, ou encore multiplication des absences de longue durée non remplacées.
Pour le SNALC, ce n’est ni dans des campagnes de publicité ni dans une diminution des grandes vacances que réside la solution. Les enseignants sont payés 1 000€ de moins par mois que la moyenne des fonctionnaires de catégorie A dans la fonction publique d’État. Les classes françaises sont parmi les plus chargées d’Europe. L’enquête « bienêtre » 1 du ministère lui-même montre la profondeur et la gravité de la crise.
Le SNALC réclame donc un plan d’urgence et en appelle à la représentation nationale pour voter une loi de programmation pluriannuelle afin d’assurer le rattrapage salarial auquel les collègues ont droit. Les gouvernements successifs sont trop longtemps restés inactifs, et les très rares mesurettes prises n’ont pas empêché la chute du pouvoir d’achat que nous connaissons depuis des dizaines d’années. Une République qui laisse lentement agoniser son École est une République inconséquente.
Pour les formations non payées et ayant lieu sur les temps en dehors de nos heures de cours, l'Education nationale ne peut obliger ses agents en dehors de leur temps de service (lire le décret en cliquant sur > CE LIEN <)
Cependant, l’article 9 de ce décret ajoute que lorsque la formation continue a pour but d’assurer l’adaptation de l’agent à l’évolution prévisible des métiers, qui est la catégorie dont relève beaucoup de formations proposées, les actions de formations « sont prises en compte dans son temps de service ».
Elles peuvent éventuellement dépasser ce temps de service, mais « avec l’accord écrit de l’agent » et dans la limite de 50 heures par an.
Il en est de même pour les actions en vue d’assurer le développement et l’acquisition de nouvelles qualifications, avec une limite annuelle fixée dans ce cas à 80 heures.
C'est pour laquelle les convocations n'en sont pas et portent le nom de "invitation". Y répondre relève donc du choix du collègue.
Cette (mauvaise) réforme a été largement médiatisée : la nouvelle indemnisation du congé maladie s'applique désormais à tout fonctionnaire et ce, à partir du 1er mars 2025 : nous ne toucherons plus que 90% de notre salaire au lieu de 100% les trois premiers mois.
Mais attention si vous êtes en arrêt maladie en ce moment : jusqu'au 1er juillet, vous toucherez bien 100% de votre traitement.
Chouette direz-vous !
Non ! Car nous devrons rétrocéder les 10% trop-perçus depuis le 1er mars ! Après le 1er juillet, tout sera en place et nous ne toucherons plus que 90% de note traitement pendant les trois premiers mois de congé maladie.
Donc, si nous faisons les calculs, certains collègues, malades pendant trois mois avant juillet devront "rendre" 10% X 3 à l'administration...soit jusqu'à 900 euros s'ils sont en fin de carrière... Il vaut mieux qu'ils le prévoient..
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Tout document relatif aux mutations intra est accessibles à la >PAGE MUTATION 2025< : circulaire, annexes, barres, etc.
Pour davantage de détails, prenez contact avec notre cellule mutations : mutation@snalctoulouse.fr
Vous pouvez aussi appeler le mercredi entre 09h00 et 17h00 la cellule mutation au 05 61 13 20 78.
Résumé :
Ce dossier du SNALC explore les opportunités de détachement pour les enseignants dans divers cadres : lycées de la Défense, grande chancellerie, enseignement à l’étranger ou CNED. Il met en lumière les défis budgétaires de l’AEFE, où la précarisation des contractuels locaux inquiète.
Le dossier présente aussi l’enseignement exigeant en lycées militaires et à la Maison d’éducation de la Légion d’honneur, qui prône excellence et suivi personnalisé.
Le CNED est évoqué comme une alternative flexible pour les enseignants souhaitant un cadre technologique innovant.
Enfin, le SNALC souligne son engagement à accompagner les enseignants dans leurs projets professionnels, en France comme à l’international.
Au menu dans ce dossier :
« Toute peine mérite salaire ! ». Le ministère vous informe des dates de règlement de votre traitement pour l’année 2024.
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