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PACTE : LE SNALC REFUSE DE SIÉGER
Le SNALC et les autres organisations représentatives n’ont pas siégé ce jour pour dénoncer le déni de démocratie sur le pacte enseignant.
Le 100ème congrès national du SNALC (Syndicat national des lycées, collèges, écoles et du supérieur), syndicat représentatif de tous les personnels de l’Education nationale s’est déroulé à Strasbourg du 22 au 26 mai 2023.
Plus de 200 congressistes issus de toute la France métropolitaine, mais également une délégation du SNALC DETOM fièrement représentée par Frédéric CHEULA de Martinique, responsable des DROM COM et Christophe GALLAIRE, venu tout droit de Madagascar, responsable des enseignants détachés (AEFE et 29ème base) ont participé à cet évènement, dans le cadre du renouvellement des instances nationales du SNALC.
A cette occasion, notre Président national depuis 2018 : Jean-Rémi GIRARD, professeur agrégé de Lettres a été réélu à l’unanimité et reconduit dans ses fonctions pour quatre ans. Il sera secondé par ses trois vice-présidents : Marie-Hélène PIQUEMAL, Toufic KAYAL, reconduits dans leurs fonctions, ainsi que Maxime REPPERT, président du SNALC de Dijon, nouvellement élu.
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Mercredi 31 mai avait lieu un rassemblement devant le rectorat destiné à protester contre la réforme des retraites, du pacte et de l'enseignement professionnel.
Des représentants du SNALC Toulouse étaient présents.
31 mai : rassemblement devant le rectorat
4 mai 2023 : le président du SNALC réagit sur CNews après la présentation par d'Emmanuel Macron de la réforme du lycée professionnel.
Le SNALC accueille avec de fortes craintes les annonces faites par le président de la République sur une énième réforme de la voie professionnelle. Si le budget affiché d’un milliard est loin d’être ridicule, rappelons que l’essentiel de la somme sera absorbé par la mesure de gratification des élèves, qui n’a pas d’impact réel sur la structuration de nos établissements ni de nos formations.
Deux annonces nous semblent inacceptables en l’état. Tout d’abord l’instrumentalisation des lycées professionnels au service des branches professionnelles, dans un « adéquationnisme » qui fait passer l’École de la République au second plan, loin derrière les intérêts économiques à court terme.
Si le SNALC n’avait aucun souci avec le fait de rendre transparents les taux d’insertion de tel ou tel bac, il considère que le raisonnement simpliste du « fermons les sections non insérantes et ouvrons des sections insérantes » est à courte vue. On oublie que les professeurs de lycées professionnels forment aussi et avant tout des élèves devant disposer d’une large culture générale et professionnelle, et non des exécutants kleenex dont on se débarrasse cinq ou dix ans plus tard car leur formation ne correspond plus aux derniers souhaits en date des entreprises.
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Bien que des remarques du SNALC aient été prises en compte dans la note de service publiée ce 23 mai, notre syndicat ne peut être satisfait.
En premier lieu, parce que nous restons opposés à la logique qui préside à la mise en place de cet objet. Pour nous la mission de transmission et de développement de l’esprit critique doit prédominer surtout à notre époque où les bases des élèves de collège sont reconnues comme fragiles. La cinquième n’est pas le temps idéal pour mettre en place une découverte des métiers.
Par ailleurs, ce texte et le dispositif qu’il entend installer illustrent parfaitement des maux qui deviennent plus que récurrents dans notre institution.
Après une expérimentation fort courte, un dispositif va être généralisé sans qu’aucune analyse sérieuse ni aucun diagnostic partagé n’existent.
Le contenu, les objectifs et les moyens sont très flous alors que les contraintes organisationnelles sont fortes et rejetées au niveau local compliquant la vie de TOUS les personnels tout en menant à la création d’un référent qui, après avoir signé un pacte, devra courir de la Région au Rectorat en passant par des entreprises, des lycées, des associations…
Plus que jamais, le SNALC attend du Ministère qu’il prenne VRAIMENT le temps de la concertation et de la réflexion pour ne plus voir des dispositifs informes et sans fond devoir être mis en place à la hâte.
Découverte des métiers : une énième usine à gaz
Le SNALC a lancé une consultation des professeurs de lycée sur les épreuves de spécialité et leurs conséquences dans l’organisation des établissements afin de disposer de remontées de terrain en vue d’une audience auprès du ministre. Au regard des réponses des collègues, beaucoup de choses sont à revoir.
RECONQUÉRIR LE TROISIÈME TRIMESTRE ?
Cette enquête SNALC, dont la représentativité est évidente avec quelques 3 500 réponses, confirme ce que notre syndicat redoutait dès l’annonce d’épreuves de spécialité en mars. Les élèves-candidats ont pris du repos les jours suivant leurs deux journées d’épreuves. Plus de 80 % des professeurs enseignant en voie générale ont fait cours devant des effectifs amoindris. Ils étaient près de 90 % en voie technologique. La semaine suivante, alors que les collègues de spécialité avaient droit à quatre demi-journées de correction, les élèves prenaient aussi du temps, mais de récupération. Évidemment, le fait que les élèves aient pu connaître leurs résultats le 12 avril a eu des conséquences. Plus de 70 % des professeurs de la voie générale avaient moins d’élèves qu’à l’accoutumée contre 82 % en voie technologique.
QUID DES ÉPREUVES ?
Dans l’ensemble, les corrections se sont plutôt bien passées. Santorin semble avoir fait son chemin et les réunions préparatoires ont fonctionné. Mais 11 % des correcteurs ont encore vu – manoeuvre inacceptable – leurs notes remontées sans autre forme de procès.
Le gros point noir réside en fait dans la passation sur deux journées et la nécessité d’avoir deux sujets. Une grande partie des collègues remarquent des différences de difficulté entre lesdits sujets. Et cela remet en cause l’égalité de traitement entre les candidats.
QUE FAIRE DÉSORMAIS ?
Pour le SNALC, il est temps que le Ministère comprenne que ces épreuves portent atteinte à l’égalité républicaine et incitent les élèves à se priver de connaissances dont ils ont pourtant grand besoin. Le Ministre lui-même ne peut ignorer cela. Il s’est d’ailleurs adressé aux élèves en leur demandant de bien rester en cours jusqu’au bout dans une vidéo assez hors-sol et visiblement vaine. La solution est ailleurs… en juin.
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