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Le congé de proche aidant permet à un agent de rester auprès d’un proche en fin de vie ou atteint d’une maladie incurable ou mettant en jeu le pronostic vital pour l’assister.
Ce congé vise à accompagner un membre de la famille ou une personne ayant désigné l’agent comme personne de confiance. La personne accompagnée peut faire le choix de vivre chez elle, chez l’agent, chez un tiers ou en EHPAD.
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Congé de proche aidant
Prime d’équipement informatique 2023
FRANCE :
> CSE : des « messages clairs » à l’intention de Pap Ndiaye
> Salaires des enseignants : les syndicats insatisfaits des propositions du ministère
> 2023, « Une rentrée sanglante »
> Syndicats lycéens : Appel au blocage
> 35 enseignants en moins dans le Finistère : Sud éducation parle de « saignée »
> "Il faut éduquer enfants et parents au numérique" insiste le ministre de l'Éducation nationale
> Le plan du ministre Pap Ndiaye pour améliorer le niveau numérique des élèves
> Les syndicats d’enseignants au 21ème siècle
OCCITANIE :
> Carte scolaire : quatre postes d’enseignants supprimés dans l'Aveyron
> Toulouse. Voici les formations qui vont ouvrir et fermer à la rentrée dans nos lycées
> Montauban. Une école de la deuxième chance ouvrira en mars
> Ariège : sur de bons rails, la nouvelle école de Pamiers devrait être baptisée Marcel-Pagnol
> DES COMPÉTENCES À TOUS LES ÉTAGES
> Réformer, oui. Mais pas n’importe comment !
> 30 min d’APQ : mettez ça où vous voulez !
> Mobilité européenne d’élèves et de personnels : à marche forcée
> Diversification des missions en établissements : « il est ouf ce lycée ! »
> Accès au corps des agrégés par liste d’aptitude 2023
> Mutations inter-académiques 2023 : vérifiez votre barème
> AED et AESH : une hausse salariale contrainte et forcée
> Ne l’oubliez pas !
> EPS : Retraite à 65 ans, un projet douloureux
> De l’art de motiver les décisions sans les expliquer
Ce 19 janvier, partout sur le territoire, plus de deux millions de travailleuses et travailleurs, et de jeunes se sont mobilisés mis en grève et/ou ont manifesté, dans le public comme dans le privé, contre la réforme des retraites de ce gouvernement.
Cette réforme est inacceptable et va à l’encontre des intérêts de la population. Elle ne s’y trompe pas, puisque même avant d’être dans la rue plus de 600 000 personnes ont déjà signé la pétition intersyndicale.
Les travailleuses et les travailleurs aspirent à partir à la retraite en bonne santé et avec un niveau de retraite qui permette de vivre dignement. Le message est très clair : le gouvernement doit renoncer à la fois à l’âge de départ à la retraite à 64 ans et à l’accélération de l’augmentation de la durée de cotisation. D’autres solutions existent, elles ont malheureusement été balayées d’un revers de main.
L’ensemble des organisations syndicales réaffirme son opposition à la réforme et sa détermination à avoir un système de retraite juste, financé aussi par un autre partage des richesses.
Afin de renforcer et d’inscrire dans la durée cette première mobilisation massive, les organisations syndicales appellent dès à présent à une journée de grève et de manifestation interprofessionnelle.
L’intersyndicale invite la population à signer massivement la pétition, et appelle à multiplier les actions et initiatives partout sur le territoire, dans les entreprises et services, dans les lieux d’étude, y compris par la grève, notamment autour du 23 janvier, jour de la présentation de la loi au conseil des ministres.
Elles appellent les salariés et les jeunes à préparer des assemblées générales dans toutes les écoles et les établissements, les services de l’éducation nationale, de l’enseignement supérieur et de la recherche pour discuter des poursuites et du développement de la mobilisation. La date du 31 janvier doit être encore plus forte que le 19 janvier.
Et alors que le gouvernement appelle les organisations syndicales à être responsables et à ne pas bloquer le pays, nous réaffirmons qu’il est et sera le seul responsable de cette situation puisque 9 travailleuses et travailleurs sur 10 rejettent cette réforme injuste et brutale.
Nous sommes unis et déterminés à faire retirer ce projet de réforme des retraites, c’est pourquoi l’intersyndicale appelle à une nouvelle journée de grèves et de manifestations interprofessionnelles le 31 janvier. L’intersyndicale confédérale se réunira le soir même.
Après la participation historique à la grève du 19 janvier 2023 et comme il l’avait annoncé dans son communiqué du 10 janvier dernier, le SNALC appelle à poursuivre le mouvement et à participer à la mobilisation du 31 janvier contre la réforme des retraites.
Le SNALC a déposé un préavis de grève qui couvre ce sujet, mais aussi de nombreux autres, jusqu’à la fin de l’année scolaire.
Lundi 22 mai
9h-14h : accueil des congressistes
14h-17h30 : ouverture du congrès – Élections Bureau national
Mardi 23 mai
9h-12h et 14h-17h30 : Élections Bureau national et Commissions
Mercredi 24 mai
9h-12h et 14h-16h : Élections Bureau national et Commissions
16h-17h : Installation du nouveau Bureau national
19h : Repas du congrès (centre-ville)
Jeudi 25 mai
9h30-12h : Réflexion sur l’Ecole
14h-17h30 : Commission administrative pour les membres du Bureau national et les représentants mandatés par les sections académiques (après-midi libérée pour les autres congressistes)
Vendredi 26 mai
9h30-12h : Clôture du congrès
Après des années de déni et de relativisme des pouvoirs publics et des médias, plus personne ne conteste désormais la faiblesse des rémunérations que le ministère de l’Éducation nationale dispense à ses enseignants. Aujourd’hui, les traitements des enseignants, plombés par le décrochage de la valeur du point d’indice par rapport à l’inflation, sont beaucoup plus bas que dans les autres fonctions publiques et les autres pays de l’OCDE.
Reconnaître la faiblesse de nos rémunérations ne suffit pas. Il est temps de prendre des mesures concrètes pour rémunérer correctement les personnels, garantie indispensable de la qualité de notre école. Or, ce n’est pas en proposant un « pacte » – donc des tâches supplémentaires – en échange d’une pseudo-revalorisation de leur traitement que ce gouvernement parviendra à rendre leur attractivité à nos métiers. Le SNALC réclame depuis plusieurs années un véritable rattrapage salarial, sans contrepartie.
En tant qu’organisation syndicale représentative, le SNALC participe aux réunions de “concertation” 2022-2023 sur la revalorisation des enseignants, CPE, Psy-EN. Nous publierons sur cette page les comptes rendus de chaque réunion, en toute transparence.
« On s'en fiche de ce que dit Brigitte Macron » Jean-Rémi Girard
Le SNALC a essayé de s’y retrouver entre déclarations du ministre, publication ce jour de quatre notes de service et glose auprès des journalistes sur ces dernières.
Il se voit donc confirmer que l’heure d’aide en français ou en mathématiques en sixième sera financée sur le dos de la technologie. C’est une honte. C’est tellement une honte que le ministre n’a même pas eu le courage de le dire la semaine dernière à la télévision alors qu’il vantait sa réforme de la classe de sixième.
Le SNALC s’oppose à cette façon détestable de traiter nos collègues, et à l’hypocrisie consistant à faire croire qu’on est ici dans une réflexion pédagogique. Tout le monde sait très bien que l’on est ici dans une optique comptable, les professeurs de technologie étant difficiles à recruter.
Alors même que les dotations horaires sont en train d’arriver dans les établissements, cette façon de gérer le collège et les personnels qui y travaillent n’est ni faite ni à faire.
Le SNALC demande que les organisations syndicales représentatives soient reçues par le ministre dans les plus brefs délais. Il demande que les mesures sur la classe de sixième soient abandonnées, qu’on mette en place une heure de français et une heure de mathématiques en plus de l’existant, et qu’on travaille à des propositions pour aider les collègues, et non pour les enfoncer davantage encore.
Jean-Rémi GIRARD, président du SNALC - le 12 janvier 2023
Rappel des faits : A la suite de dénonciation de trois de ses étudiantes, il y a trois ans, une épouvantable tornade s’est abattue sur un collègue professeur en CPGE à Fermat. : Sans avoir été tenu au courant de ces allégations, ni convoqué chez son proviseur, ni confronté à ses dénonciatrices, ce collègue – par ailleurs en fin de carrière et extrêmement bien noté- s’est vu, à la rentrée des vacances de Pâques 2019, interdire oralement l’accès du lycée par le Proviseur.
Les conséquences :L’affaire était lancée, avec son cortège de soupçons dégradants, de rumeurs et de délations. Rien n’y a fait, ni le soutien de ses élèves et anciens élèves, ni l’appui de ses collègues, ni surtout, le fait qu’il n’y ait jamais eu de plainte déposée contre ce collègue ! Mais les convocations douloureuses au Rectorat et les suspensions, elles, se sont enchainées. Puis une mutation d’office, à la suite d’une commission disciplinaire a été décidée.
TROIS ANS APRES LES FAITS, LE TRIBUNAL ADMINISTRATIF DE MONTPELLIER A ANNULE TOUTE LA PROCEDURE DISCIPLINAIRE (LES DEUX SUSPENSIONS AVAIENT DEJA ETE ANNULEES EN REFERE)
Le SNALC, qui a accompagné ce collègue tout au long de ces trois longues et difficiles années, se réjouit que le droit ait été enfin rétabli, mais déplore les graves blessures psychologiques qui lui ont été infligées.
Il s’indigne également du prix que cette affaire va coûter à la collectivité : les erreurs administratives auront occupé deux tribunaux administratifs, un avocat à plein temps. L’administration aura à verser les remboursements de ses honoraires et les dépens du procès…avec, bien sûr, l’argent des contribuables.
Enfin, les élèves de ce collègue, préparant un concours très difficile, auront été abandonnés en rase campagne, même si des cours de soutien seront vite mis en place et une collègue nommée en pleine année sur le poste. Peu de respect de leur sérénité, à ce qu’on peut constater.
La leçon à tirer :
Le SNALC s’étonne que l’administration ait immédiatement accordé autant de crédit aux propos de trois élèves, alors que certains collègues sont harcelés et menacés sans qu’elle ne bouge aussi vite.
Le SNALC déplore le manque de discernement qui consistait autrefois à ne jamais prendre en compte la parole de l’enfant, et qui maintenant, ne prend jamais en compte celle de l’adulte. Il revendique une attitude réactive, certes, mais de prudence, dans les conflits de plus en plus nombreux qui se nouent entre élèves et professeurs et professeurs et administration.
Est-ce un rêve utopique que d’imaginer une hiérarchie impartiale et soucieuse des règles de droit, entre autre la présomption d’innocence, l’information des procédures entamées et la confrontation des accusés avec ceux qui les accusent ?
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ENFIN JUSTICE EST RENDUE POUR NOTRE COLLEGUE !
Les mobilisations des personnels ont obligé Carole Grandjean à un premier recul : la réforme ne s’appliquera pas à l’ensemble des établissements à la rentrée 2023. Cependant, elle ne renonce pas et tente dorénavant de l’imposer plus insidieusement par des expérimentations qu’elle généralisera, à coup sûr, sans bilan et rapidement malgré une contestation toujours vive des personnels.
Olivier Véran, porte-parole du gouvernement, a d’ailleurs réaffirmé le 21 décembre dernier que le gouvernement avait engagé une réforme du lycée professionnel. Carole Grandjean est donc toujours déterminée à sacrifier l’avenir des jeunes, de nos métiers et de nos lycées professionnels – quitte à contourner le dialogue social en ayant recours à des cabinets de conseil malgré les scandales.
ÉDITO : RÉSISTER
J’aimerais pouvoir vous souhaiter une bonne année 2023, mais ça part mal.
Après une période d’observation, voici le retour des réformes qui vont nous faire suer pendant des mois pour un résultat au mieux nul — mais un résultat négatif est plus probable. La voie professionnelle avait ouvert le bal, et de groupe de travail en consultation, on comprend de moins en moins où l’on veut aller, sinon dans un monde où l’on fait des économies sur le dos des collègues. Même les entreprises ne semblent pas emballées par l’augmentation des périodes de stage : c’est dire l’engouement général… [Lire la suite]
DOSSIER DU MOIS – DES COMPÉTENCES À TOUS LES ÉTAGES
SYSTÈME ÉDUCATIF
09 – Réformer, oui. Mais pas n’importe comment !
09 – 30 min d’APQ : mettez ça où vous voulez !
10 – Mobilité européenne d’élèves et de personnels : à marche forcée
10 – Diversification des missions en établissements : « il est ouf ce lycée ! »
LES PERSONNELS
11 – Accès au corps des agrégés par liste d’aptitude 2023
11 – Mutations inter-académiques 2023 : vérifiez votre barème
12 – AED et AESH : une hausse salariale contrainte et forcée
12 – Ne l’oubliez pas !
13 – EPS : Retraite à 65 ans, un projet douloureux
13 – De l’art de motiver les décisions sans les expliquer
« Toute peine mérite salaire ! ». Le SNALC vous informe des dates de règlement pour l’année 2023 !
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