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Les épreuves de spécialité du bac 2023 ont démarré ce lundi 20 mars dans l'après-midi. Les professeurs ont été nombreux à s'insurger contre ce timing imposé. Comment ont-ils réussi à boucler leurs programmes ? Comment les élèves se sont-ils préparés ? Pour en parler, Virginie Guilhaume reçoit en plateau Jean-Rémi Girard, président du SNALC (Syndicat national des lycées et collèges) et en duplex Christine Guimonnet, secrétaire générale de l'association des professeurs d’histoire et de géographie (APHG).
Depuis lundi, plus de 536 000 lycéens planchent sur les épreuves de spécialité du bac, qui se tiennent, pour la première fois, du 20 au 22 mars. "Les professeurs ont peiné à boucler leurs programmes", déplore Jean-Rémi Girard, président du SNALC (Syndicat national des lycées et collèges). Cela concerne notamment les programmes de physique-chimie. Les professeurs ont dû notamment effectuer des ajustements pour bien préparer leurs élèves.
La mobilisation des personnels des lycées professionnels a posé dans un débat large la question des difficultés générées par les réformes précédentes, la transformation de la voie professionnelle et par les annonces du Président. L’intersyndicale de la voie professionnelle insiste sur l’impérieuse nécessité de mettre en oeuvre des mesures permettant d’améliorer les conditions d’études des jeunes, leur réussite aux examens et les conditions de travail des personnels.
La transformation de la voie professionnelle engagée sous le précédent quinquennat est à rebours de ces objectifs. C’est pourquoi l’intersyndicale voie professionnelle continue d’exiger une révision des dispositifs – notamment sur les enseignements pluridisciplinaires (la co-intervention et le chef-d’oeuvre) mais également les familles de métiers, pour redonner du temps disciplinaire aux élèves et permettre aux enseignant·es de renforcer la réussite de toutes et tous aux épreuves des diplômes.
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Revue de presse et documents SNALC :
> Les 14 propositions présentées par le MEN comme les plus récurrentes
> Propositions émises par les 4 GT consultables sur le site du Ministère.
> 21/03 Communiqué de l'intersyndicale
> 06/03 Voie professionnelle, les syndicats demandent des garanties
> 18/01 Une étude sur le lycée professionnel … à rebours du projet de réforme du gouvernement
> 06/01 L’intersyndicale déterminée à exiger le retrait du projet de réforme des lycées professionnels
> Claude Lelièvre : réaction historique de la Société des agrégés à une mise en cause du CAPES
> Grève pendant le bac : les syndicats et les enseignants divisés
> Retraites : transports, éducation, raffineries... À quoi faut-il s'attendre jeudi ?
> Épreuve de spécialité : fuite d’un sujet
> Vers une classe de 34 élèves dans une école de Caen : les parents inquiets
> Des AESH payées 35€ ou 8,53€ dans l'Oise : « je ne dors plus la nuit »
> Blois : des professeurs distribuent aux élèves de « faux sujets » du baccalauréat sur le 49.3
> Foix : carte scolaire: le conseil municipal de Foix entérine la fermeture de l'école des Bruilhols
> Pont-de-Salars : le collège en colère face au manque de remplaçants
> Tarbes : tractage à Tarbes-ouest et boycott à l’inspection
> Toulouse : nouveau rassemblement devant l’école Marengo-Périole
> Camburat : l'école s’appelle "Le Petit Prince"
> Rodez : les enseignants se mobilisent devant le lycée Alexis-Monteil
> Toulouse : blocage d'un collège des Chalets : les raisons de la colère des parents d'élèves
> Pont-de-Salars : le collège en colère face au manque de remplaçants
> Gourdon : un nouveau bac pro soins à la personne à la rentrée prochaine
D'après les anciens comme d’après Thomas Hobbes, l’Homme serait un loup pour l’Homme. C’est bien ce principe qui guide la politique éducative de nos gouvernements successifs, et notamment de ce quinquennat et du précédent. Autonomie de l’établissement, guerre ouverte ou feutrée pour savoir qui aura des demi-groupes, appel à projet innovant afin d’obtenir l’essentiel pour votre école et d’en priver par-là même l’école d’à-côté, PIAL dysfonctionnels où l’on vous sépare de l’élève que vous suiviez avec succès car le tableur Excel l’a décidé: rien n’est épargné pour nous diviser.
Dernier avatar en date : le pacte enseignant. Une usine à gaz aux mains d’un chef d’établissement qui n’en demandait pas tant, ou d’une direction d’école déjà au bord du burn-out (quand elle n’est pas en plein dedans). Une laisse que vous vous passez vous-même autour du cou, vous imposant d’effectuer au cours de l’année des remplacements de courte durée qui ramènent le professeur au rang de bouchetrou vaguement pédagogique, ou du soutien en collège alors que vous travaillez déjà en moyenne 43h par semaine dans votre école primaire. La récompense? Un forfait qui vous permettra – peut-être – d’être payé en plus pour en faire encore plus – il paraît qu’il faut du monde pour la découverte des métiers en cinquième.
Et comme au ministère, on prend les loups pour des ânes, ce travail supplémentaire est affublé du vocable de « revalorisation». Une revalorisation tellement revalorisante que nos interlocuteurs reconnaissent eux mêmes qu’elle n’est pas intéressante pour les agrégés. Mais qui s’occupe encore des agrégés dans l’Éducation nationale, à part le SNALC ? C’est toujours fascinant d’entendre le mépris envers les agrégés suinter de la bouche et des pores d’un cadre qui gagne trois ou quatre fois leur salaire. Certains n’ont visiblement honte de rien.
Le monde rêvé de nos dirigeants, c’est un monde où nous serions des loups entre nous, mais des moutons à leur égard. Où nous bêlerions uniquement quand ils l’auraient décidé. Il fallait les voir nous reprocher d’avoir – horresco referens – publié après la réunion les documents sur lesquels ils nous présentaient leur projet. 10 mois que le président de la République et le ministre mentent sur le chiffre de 10% de revalorisation en moyenne pour tous, et les méchants, ce sont les organisations syndicales qui produisent la preuve non contestée de leur mensonge ?
Sauf qu’on ne met pas de muselière au SNALC, dont l’un des objectifs est d’informer en toute transparence les personnels comme l’ensemble des citoyens, et non d’attendre sagement que nos gouvernants choisissent le temps, le lieu et les éléments de leur communication captieuse. Nous sommes humanistes et nous valons mieux que leur politique budgétaire à courte vue et que leur gestion des ressources inhumaine. En ces temps de crise des recrutements, de paupérisation et de dégradation de nos conditions de travail, un syndicat comme le SNALC montre que nous conservons notre grandeur d’hommes et de femmes, et que nous continuerons de nous battre avec dignité et efficacité.
Revue de presse & infos SNALC
> 14/03 Fin de la technologie en 6eme : un signal très négatif pour l’ensemble d’une filière
> 07/02 Les professeurs de technologies en colère
> 07/02 Collège : L’heure de technologie supprimée en sixième, les enseignants outrés
> 06/02 Éducation : la technologie supprimée pour les 6e au collège, les profs « en colère »
> 31/01 Technologie, soutien en 6e et répartition DGH : ne laissez pas faire n’importe quoi
> 31/01 La FCPE dénonce la suppression de l’heure de technologie en 6ème
> 31/01 Le dépeçage de la technologie dénoncé
> 31/01 Technologie : état des lieux sur les pertes d’heures
> 12/01 Technologie en sixième : hypocrites !
Technologie, soutien en 6e et répartition DGH : ne laissez pas faire n’importe quoi
Concernant l’heure de soutien ou de renforcement qui est censée se mettre en place à la rentrée, on ne sait que très peu de choses.
Pour être précis, les seuls réels éléments dont nous disposons se trouvent dans la Note de service du 10-1-2023 : « À compter de la rentrée 2023, afin de donner à chaque élève les moyens de réussir au collège, des sessions d’une heure hebdomadaire de consolidation ou d’approfondissement sont instaurées pour tous les élèves de 6e en mathématiques ou en français. Ces sessions sont organisées de manière transversale pour tous les élèves de 6e d’un même établissement et se fondent sur une programmation qui répertorie les objets d’étude à travailler… »
Hormis ce passage de la note de service sur les savoirs fondamentaux, rien… hormis les déclarations du ministre de l’Éducation nationale dans les médias. Et possiblement une injonction hiérarchique n’ayant pas de valeur règlementaire (circulaire, note de service, voire coup de fil).
Or, on ne construit pas une rentrée, une dotation globale, une répartition, ni même une politique sur des déclarations. Il faut des textes. Des textes réglementaires.
Donc, et cela est TRES IMPORTANT, si votre chef d’établissement tente d’argumenter en conseil pédagogique ou de faire passer en conseil d’administration une répartition de la dotation globale horaire (DGH) de votre collège tenant pour acquis la suppression d’une heure de l’enseignement scientifique et technologique, vous êtes fondés à :
…et, face à sa réponse embarrassée,
Enfin, le SNALC dénonce les baisses dans les dotations attribuées à de très nombreux établissements. N’hésitez pas à contacter votre section académique pour obtenir notre aide sur des démarches de motions en conseil d’administration ou de prises et préparation de rendez-vous avec votre DSDEN.
Sébastien VIEILLE, secrétaire national du SNALC chargé de la pédagogie - 31 janvier 2023
Après des années de déni et de relativisme des pouvoirs publics et des médias, plus personne ne conteste désormais la faiblesse des rémunérations que le ministère de l’Éducation nationale dispense à ses enseignants. Aujourd’hui, les traitements des enseignants, plombés par le décrochage de la valeur du point d’indice par rapport à l’inflation, sont beaucoup plus bas que dans les autres fonctions publiques et les autres pays de l’OCDE.
Reconnaître la faiblesse de nos rémunérations ne suffit pas. Il est temps de prendre des mesures concrètes pour rémunérer correctement les personnels, garantie indispensable de la qualité de notre école. Or, ce n’est pas en proposant un « pacte » – donc des tâches supplémentaires – en échange d’une pseudo-revalorisation de leur traitement que ce gouvernement parviendra à rendre leur attractivité à nos métiers. Le SNALC réclame depuis plusieurs années un véritable rattrapage salarial, sans contrepartie.
En tant qu’organisation syndicale représentative, le SNALC participe aux réunions de “concertation” 2022-2023 sur la revalorisation des enseignants, CPE, Psy-EN. Nous publierons sur cette page les comptes rendus de chaque réunion, en toute transparence.
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Lundi 22 mai
9h-14h : accueil des congressistes
14h-17h30 : ouverture du congrès – Élections Bureau national
Mardi 23 mai
9h-12h et 14h-17h30 : Élections Bureau national et Commissions
Mercredi 24 mai
9h-12h et 14h-16h : Élections Bureau national et Commissions
16h-17h : Installation du nouveau Bureau national
19h : Repas du congrès (centre-ville)
Jeudi 25 mai
9h30-12h : Réflexion sur l’Ecole
14h-17h30 : Commission administrative pour les membres du Bureau national et les représentants mandatés par les sections académiques (après-midi libérée pour les autres congressistes)
Vendredi 26 mai
9h30-12h : Clôture du congrès
« Toute peine mérite salaire ! ». Le SNALC vous informe des dates de règlement pour l’année 2023 !
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