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Le SNALC a toujours défendu la spécificité et la richesse de nos métiers, fondées sur des statuts. Représenter l’État, ce n’est pas rien. Se voir investi d’une part de son autorité non plus. Force est de constater que l’État n’entretient plus cette vision de notre système scolaire, qui fait sa grandeur et garantit la transmission des savoirs sur l’ensemble du territoire.
Nous devenons chaque jour moins grands, moins respectés. Car nous sommes désormais interchangeables. Chez les professeurs, les concours et la formation initiale gomment notre nécessaire expertise disciplinaire. Tout le monde dans un master éducation, dans lequel la part de notre discipline est réduite à sa plus simple expression. Et qu’on ne s’avise pas de vouloir poursuivre en thèse : on ne pourra pas. De même, notre employeur gère la crise des recrutements dont il est responsable de la pire des façons possibles : vous avez lu Astérix ? Tenez, une certification latin. À Dijon, on tente même, après un simple entretien, de faire enseigner le français en collège à des professeurs d’autres disciplines. Maupassant, écrivain ou footballeur ? Écrivain ? Bravo, vous voilà professeur de lettres avec votre CAPES de non-lettres.
Les autres métiers ne sont pas mieux traités. Récemment encore, on tentait de fusionner les AED et les AESH en un seul gloubi-boulga. Sachant que les AESH sont déjà interchangeables dans le grand tableur du PIAL (et probablement bientôt du PAS), nous voilà sur de l’interchangeabilité au carré. Et que dire des personnels sociaux et de santé, que l’on veut regrouper en un pôle santé/social informe, où chacun pourra bien faire le travail des autres, surtout quand ces fameux autres n’ont pas pu être recrutés.
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Le SNALC continue de vous informer sur la protection sociale complémentaire à l’Éducation nationale. Le montant de la cotisation d’équilibre est estimé à 75,40 € par agent actif : il s’agit de la cotisation moyenne permettant au régime d’être à l’équilibre, dont 50 % seront pris en charge par notre employeur. Sur cette base, comment votre cotisation individuelle va-t-elle être calculée ?
Rappelons que la cotisation individuelle ne sera modulée ni en fonction de l’âge ni de l’état de santé de l’agent, mais que 30 % en moyenne le seront en fonction de sa rémunération. Or, certains éléments manquent encore pour estimer de manière certaine les cotisations, et notamment la rémunération moyenne de l’ensemble des agents à prendre en compte.
Dans les estimations actuelles, cette rémunération moyenne se situe à 2 800 € environ de salaire brut : avec un traitement inférieur, le montant de la cotisation serait inférieur à la cotisation d’équilibre et avec un salaire supérieur (avec un plafonnement de 3 925 € actuellement), il serait supérieur.
Par ailleurs, le reste de la part individuelle de la cotisation s’élèvera forfaitairement à 20 % de la cotisation d’équilibre. Enfin, chaque agent actif payera également une cotisation additionnelle permettant de de financer un fonds d’accompagnement social (2 %) et un fonds d’aide aux retraités (3 %).
Afin d’estimer ce que vous allez devoir payer sur la partie socle, obligatoire, voici quelques exemples concrets, sur la base du traitement indiciaire, sans primes ni indemnités (voir tableau ci-dessus)
Élise BOZEC-BARET, secrétaire nationale du SNALC chargée des conditions de travail et du climat scolaire
Résumé :
La loi de 2005 a permis une meilleure inclusion des élèves en situation de handicap, mais son application aux personnels de l’Éducation nationale reste très insuffisante.
Le taux d’emploi des travailleurs handicapés dans ce ministère reste en dessous du seuil légal.
Le SNALC soutient les personnels concernés et dénonce les difficultés d’accès aux aménagements professionnels. Les dispositifs existants sont souvent temporaires, malgré des besoins durables.
Enfin, la récente baisse de l’indemnisation des arrêts maladie pénalise particulièrement les personnels en situation de handicap.
Pour les formations non payées et ayant lieu sur les temps en dehors de nos heures de cours, l'Education nationale ne peut obliger ses agents en dehors de leur temps de service (lire le décret en cliquant sur > CE LIEN <)
Cependant, l’article 9 de ce décret ajoute que lorsque la formation continue a pour but d’assurer l’adaptation de l’agent à l’évolution prévisible des métiers, qui est la catégorie dont relève beaucoup de formations proposées, les actions de formations « sont prises en compte dans son temps de service ».
Elles peuvent éventuellement dépasser ce temps de service, mais « avec l’accord écrit de l’agent » et dans la limite de 50 heures par an.
Il en est de même pour les actions en vue d’assurer le développement et l’acquisition de nouvelles qualifications, avec une limite annuelle fixée dans ce cas à 80 heures.
C'est pour laquelle les convocations n'en sont pas et portent le nom de "invitation". Y répondre relève donc du choix du collègue.
« Toute peine mérite salaire ! ». Le ministère vous informe des dates de règlement de votre traitement pour l’année 2024.
Cliquez sur > CE LIEN < pour visionner le calendrier des paies 2025 (c'est en bas !)